« diététique »

« L »expérience et la réflexion montrent que tous les « systèmes alimentaires » prônés et considérés comme l’unique vérité, ne résolvent pas tous les problèmes. Ils sont en général prisés et suivis à la lettre par des gens anxieux, obsédés par leur corps qu’ils comprennent mal. Or, dans ce domaine en particulier, la plus grande souplesse est requise. Notre équilibre est changeant selon les périodes de l’année, les stades de notre vie, les risques de contagion ou de contamination, le rythme de nos activités. Il est nécessaire d’être attentif et d’adapter sans cesse notre nourriture à nos besoins et notre condition physique.

(….)

Je pense devoir insister sur une attention soutenue à nos sensations internes pour adapter la nourriture à ce que nous sommes à tout moment :

  • ne pas manger dans une atmosphère troublée
  • ni en faisant autre chose, donc distraitement,
  • ou si l’on n’a pas faim pour différentes raisons
  • être attentif aux quantité d’alimentés ingérés dans une journée : adapter cette quantité à l’activité
  • savoir changer sa façon habituelle de s’alimenter si des sensations ou des troubles internes l’exigent.

Sachons aussi au fur et à mesure que l’on vieillit, être à l’écoute des fonctionnements du corps, pour adapter sa nourriture de façon constante.

(…)

Mais terminons en disant qu’il serait souhaitable néanmoins de savoir sans se culpabiliser « faire la fête » en oubliant, si cela fait plaisir, tout principe que l’on s’impose. Justement ne rien s’imposer mais comprendre ou ressentir plutôt les bienfaits retirés d’une adaptation intelligente de la nourriture à ce que l’on est … et cela deviendra une « seconde nature » où privations et contraintes n’existeront plus. » Andrée Maman

 

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.